1. a. Les contraintes

Les contraintes subies par cette structure sont nombreuses et d’intensités très différentes. Elles sont majoritairement supportées par des changements de tension dans les rayons.

En statique (lorsque votre vélo est rangé au garage), des contraintes sont déjà présentes :

Transition toute trouvée, abordons donc les contraintes qui nous intéressent vraiment : les contraintes dynamiques. Et là je risque de commencer à vous surprendre (ou peut-être vous décevoir J), puisque je vais à nouveau lister ces contraintes par ordre d’importance, et même s’il m’est très difficile de chiffrer précisément cela, la contrainte de très loin la plus importante (quelque part autour de 80 à 90% voir plus) n’est pas le couple « surpuissant » que nous appliquons sur notre roue arrière (je vous l’avais dit, notre ego de cycliste en prend un coup), mais tout simplement notre propre masse (contrainte radiale). Viennent ensuite les contraintes latérales et de torsion.

Plus en détail :

Ayant abordé les différentes contraintes (j’ai volontairement exclu les chocs inhabituels dus par exemple au chute car ceux-ci ont difficilement explicables), venons en aux conséquences de celles-ci : les possibles ruptures. Comment se produisent-elles ? Comment les prévenir ?